"Macula exprime le fol désir de l’homme d’échapper à sa condition, de jouer au demi-dieu, de comprendre le but de son passage sur Terre et de trouver son moi profond, par des images vigoureusement réalistes empreintes d’un humour certain, où se conte la pensée profonde d’un poète philosophe."
Monina Jolly, Directrice des Lettres de l’Académie Internationale de Lutèce.
Extrait : Je vous parle de moi comme on parle de ce qu’on ne connaît pas. Je vous parle de moi comme de cet inconnu qui nous fait parler. Vous parler : tentative ou tentation ?
"Un contraste de noir optimisme et de réalisme rose. S’il est parfois douloureux de plonger toujours plus profondément avec l’auteur, son art d’éclairer les abysses où il nous entraîne, nous apporte la lumière et l’oxygène nécessaires pour y rester en sa compagnie. Dans Macula, Boris Nicaise nous ouvre des myriades de portes, laisse les milliards de réponses en suspens, et nous donne en même temps envie d’aller voir plus loin."
Gilliane Vilain, journaliste critique.
Sources et ressources "nous conte les liens subtils que Boris Nicaise entretient avec son pays, dont il exprime le volume et l’atmosphère à travers les raisons de ses errances. Nous nous trouvons en présence d’un vrai poète, citoyen du monde aux racines sensibles."
Monina Jolly, Directrice des Lettres de l’Académie Internationale de Lutèce.
(Extrait :) Il est des hommes de grès, il est des hommes de quartz. Ces hommes ne se peuvent tailler qu’en morceaux plus petits. Toujours plus petits. Toujours plus morceaux. Pauvres hommes de marbre, pauvres hommes de granit. La pâte dont je suis se peut modifier à l’envi, au-delà des idoles fracturées au pied des stalles égrugées. Drapé de l’argile, galbé de la terre. Richesse d’être.
"Dans Sources et Ressources, Boris Nicaise marie en poésie la recherche et la pensée, Jarry et Marc-Aurèle."
Paul van Melle (revue Inédit).